Dring !!!! Dring !!!!
Le téléphone sonne. Vous apprenez que demain vous avez l’opportunité de préparer un film en Scope. Mais détail important : vous n’en avez jamais fait auparavant, ou alors très peu. Immédiatement se déroule dans votre tête une liste de questions sans réponses. Il faut demander conseil et se rafraichir la mémoire!!! Existe-t-il une méthode, un livre, un guide ? Quelle mire utiliser ?… Beaucoup d’entre nous assistants se sont retrouvés dans cette situation et là est la raison d’être de cet article.
Au travers de la présentation de la nouvelle mire PAT pour les calages en anamorphique, l’idée est de vous donner une notice d’utilisation de la mire, des clefs, des outils, des recommandations ; autrement dit un protocole pour la bonne réussite de vos essais en « Scope ».
Cet article vous sera présenté en deux parties :
la première ci-présente sera dédiée à la préparation et à la mise en place des essais ; et la deuxième (qui fera l’objet d’un autre article) sera dédiée aux lectures. Vous trouverez au fil de ces lignes un descriptif exhaustif étape par étape de la mise en place de ces essais, agrémenté de schémas et d’images. En bonus, vous trouverez ci-dessus (mais aussi en fin d’article) un modeste tutoriel vidéo complémentaire.
1 • La petite Histoire
C’est indéniable, le Scope opère un spectaculaire retour en force depuis quelques années, comme un effet de mode. L’arrivée de la HD au début des années 2000 était plus propice à l’utilisation d’objectifs sphériques : le 16/9, les petits capteurs, une recherche de la définition et de la perfection… À tel point que, pour beaucoup, nous avions presque oublié l’existence de l’anamorphique !
À l’instar des optiques sphériques vintages préférées aujourd’hui pour « salir » et apporter un caractère significatif à une image numérique presque standardisée, l’anamorphique attire de plus en plus d’utilisateurs de part ses qualités esthétiques mais aussi beaucoup pour ses défauts. Avec l’arrivée il y a peu des grands capteurs 4/3 et des outils de prévisualisation de désanamorphose dans les visées électroniques et sorties « monitoring », l’anamorphique tel que nous l’avions connu en film est redevenu possible et les utilisateurs de Scope ont enfin retrouvé leurs petits : son inhérente profondeur de champ, ses aberrations, ses déformations, ses flares, ses bokehs et la possibilité d’exploiter au maximum la surface d’un capteur.
Ce renouveau de l’anamorphique pour l’écriture de projets cinématographiques et audiovisuels n’est pas sans conséquence sur nos essais. Il est vrai que nos méthodes de travail ont été sclérosées par l’association du sphérique et du numérique. Faire des essais en scope, c’est comme reconquérir un territoire perdu, ou si vous préférez, retrouver un savoir- faire latent pour certains, voire presque méconnu pour d’autres.
Petit tour d’horizon…
Jusqu’à récemment, il existait trois mires d’impression de calage anamorphique :
Pour commencer, notez sur la mire Alga Samuelson l’absence d’abscisse et d’ordonnée (d’axe vertical et horizontal). Impossible par conséquent de pouvoir correctement placer cette mire sur un banc pour en vérifier l’anamorphose. Surprenant ! Si vous avez du temps à perdre, essayer d’aligner cette mire avec un fil à plomb. Vous verrez, c’est pas rigolo ! Même impossible !
Ce qui n’est pas le cas de la mire Cinecam. À première vue, la mire Cinecam semble être la mire la plus complète des trois : une échelle de motifs pour le calage, une ellipse pour l’anamorphose et des indicateurs d’axe horizontal et vertical. La mire idéale quoi !
Il est important de faire remarquer que les mires anamorphiques Panavision et Cinecam qui existent encore aujourd’hui ne sont malheureusement que des photocopies de photocopie de photocopie de photocopie de photocopie de photocopie de photocopie… Il faut se rendre à l’évidence : au fur et à mesure des générations de copies, ces mires sont devenues inutilisables : les motifs servant au calage ont perdu de leur finesse, de leur contraste, et surtout, surtout, les ellipses permettant de vérifier l’anamorphose se sont déformées et ne permettent plus la restitution d’un cercle parfait.
Pour les exigeants et rigoureux assistants que nous sommes, les mires Panavision et Cinecam ne sont donc pas exploitables. Pour finir, la mire CST, bien que sans ellipse et peut-être d’une qualité irréprochable (ce qui aurait pu arranger les choses), est totalement introuvable voire « éteinte ».
Il y avait un manque à combler, c’est indéniable.
Face à l’absence durable d’un produit équivalent de qualité, et pour répondre à nos besoins, PAT Accessories nous propose aujourd’hui un produit précis et pratique que ce soit pour les essais en film ou en numérique.
2 • Présentation de la mire
La mire anamorphique PAT est conçue pour travailler avec une anamorphose x2. Espérons bientôt une mire à l’anamorphose x1,3 !
À première vue, la mire anamorphique PAT n’est pas si différente des mires que nous connaissons déjà :
Elle permet :
- La vérification du calage des objectifs fixes et zooms anamorphiques (x2)
- La vérification de l’anamorphose x2
Mais aussi et surtout :
- La matérialisation des déformations géométriques et cela comprend les tests dit « du fil à plomb » et du « damier » !!
- L’interprétation et la comparaison du pouvoir de résolution entre différents objectifs quelque soit la distance de mise au point de l’essai grâce à une numérotation rationnel dans l’échelle des motifs … (Cela induit quand même quelques calculs !!)
Enfin, comme l’ensemble des mires PAT que nous connaissons, elle possède :
- Une excellente impression
- Une surface mat et anti-reflet
- Un support magnétique intégral aimanté très efficace
À noter que les dimensions de la mire ne sont pas au format A4 mais de 20×35,6 cm permettant d’obtenir des ellipses de 15×30 cm.
3 • Les essais anamorphiques
Étape #1 - Bien choisir son banc d'essais
C’est primordial. Il s’agit là de votre surface de travail, celle qui va vous permettre de faire des vérifications incontestables ! Si votre banc n’est pas parfait, et malheureusement c’est ce qui risque de vous arriver, vous devez en connaître les défauts afin d’en tenir compte dans l’interprétation de vos impressions.
Pour cela, il est très important de :
- Vérifiez sa planéité. Cela peut se faire avec un réglet de maçon ou un grand niveau à bulle. Ce n’est peut-être pas très chic de venir avec son réglet de maçon chez un loueur, mais le ridicule peut s’avérer être payant ensuite. Vous éviterez ainsi toutes distorsions pouvant influer sur l’interprétation de l’anamorphose des objectifs testés.
Exemples de distorsions optiques possibles :
- Vérifiez l’aplomb du banc avec un niveau à bulle, le plus grand possible. Au cas où vous n’auriez pas de niveau assez grand, aidez-vous alors de votre réglet de maçon !! 😉
Cette étape est fondamentale. L’aplomb de votre banc vous permettra ensuite l’utilisation du fil à plomb pour la disposition de vos mires et la vérification des distorsions de l’anamorphose.
De cette manière, vous écartez tous les facteurs matériels liés au banc pouvant influer sur la géométrie de l’image et sur l’interprétation de l’anamorphose.
Etape #2 - Choisir et vérifier sa bulle
Oui, oui. Il ne s’agit pas là d’une métaphore. Juste à cause d’une bulle, vous serez peut-être obligé de reprendre à zéro vos essais. C’est du sérieux !
Bien choisir sa bulle sous-entend d’abord de vérifier la bulle de votre tête fluide qui servira à vos essais et, qui sait, pour votre tournage. En sphérique, une mauvaise bulle sur la tête vous fera perdre l’horizon. En « scope », c’est un peu plus alambiqué que cela. La perte de l’horizon peut être liée à deux facteurs : le facteur mécanique lié à la tête d’une part, et le facteur optique lié à l’orientation du bloc anamorphique d’autre part ! Pour vérifier votre anamorphose, vous devez autant que faire se peut écarter tout facteur mécanique pouvant interférer sur vos essais.
La vérification de la bulle d’une tête fluide est fastidieuse et se déroule en plusieurs étapes :
- Étape n°1 : Faite la bulle de votre tête fluide sans camera dessus et faites ensuite un tour à 360° pour vérifier si quelque soit la position du Pan, la bulle ne change pas de position. Si la bulle ne bouge pas, tant mieux. Dans le cas contraire, vous ne pouvez pas vous y fier. C’est moche. Il peut en effet arriver que des bulles soient fausses à cause d’une erreur de fabrication ou biaisées à cause d’une mauvaise utilisation ou d’un choc reçu par le passé. Pour ces même raisons, toutes les bulles fabriquées et vendues en boutique ne sont pas toutes fiables, alors…
- Étape n°2 : Faites un casting de bulle pour déterminer votre bulle témoin : celle qui servira à la contre-expertise. Pour ce type d’essai, préférez des bulles à deux axes, et comparez-les entre elles sur un même support de préférence plan et plat. L’idée n’est pas de vérifier si les bulles affichent une bulle parfaite mais d’identifier celles qui présenteraient des incohérences par rapport aux autres.
- Étape n°3 : Vérifiez la cohérence entre votre bulle témoin, et la bulle de la tête. Pour cela, enlever toutes les plaques, semelles, et contre-plaques de la tête, posez-y votre bulle témoin à deux axes, réglez le tilt de sorte que votre bulle témoin soit bonne dans les deux axes, et réalisez une fois de plus le test des 360°. Si la bulle de votre tête est bonne, mais que votre bulle témoin vous indique un problème de bulle : c’est pas bon signe du tout.
- Étape n°4 : Vérification de la bulle sur l’ensemble du montage. Une fois votre tête vérifiée, vous pouvez commencer le montage de votre système de prise de vues : plaque + semelle + slide plate + bridge plate… et camera. Vérifier si votre camera est bien « bullée » à l’aide de votre bulle témoin. Si oui, eh bien tant mieux. Vos essais sont bien partis. Si non, vous devez avant de poursuivre isoler et éliminer le problème parmi les éléments intermédiaires du montage. Pour l’exemple, nous avons choisi de travailler avec une Alexa. À noter que sa surface plane sous la poignée de portage est un logement idéal pour votre bulle témoin, ce que d’autres caméras au design plus exiguë n’ont pas malheureusement.
- Étape optionnelle n°5 : Vérification par le biais de la bulle électronique de la camera. Il est vrai que cette vérification peut être un indice supplémentaire sur la bonne et due forme de votre montage. Cependant, la bulle électronique invite à une certaine précision que les bulles liquides n’ont pas. Ne vous sentez pas obligé de l’utiliser, cela vous évitera peut-être d’être amener à remettre en cause toutes les vérifications précédentes ! Nous vous invitons donc à travailler avec une certaine tolérance à l’imprécision, et cela est d’autant plus vrai pour l’ensemble de vos essais et y compris les lectures.
Sur le plateau, c’est la bulle de la tête qui primera pour le machiniste et l’ensemble des personnes invitées à devoir buller la camera.
Toute cette préparation et ces vérifications peuvent paraître laborieuses et chronophages, mais c’est un investissement. Il s’agit de caractériser et trouver une cohérence dans les moyens matériels mis à votre disposition pour obtenir une garantie sur la pertinence et la rigueur du résultat final.
Votre Banc est plan et d’aplomb ? Votre montage camera est bullé ? Votre tête est fiable ? Il est temps maintenant de passer aux calages et à la vérification de l’anamorphose.
Etape #3 - Disposez ses mires anamorphiques
Pour la vérification du calage, les mires anamorphiques PAT n’impose pas de contrainte de distance. Pas de 50x la focale par exemple ! En revanche, pour un contrôle de la définition entre différents objectifs, c’est autre chose. Mais nous y reviendrons plus tard dans notre prochaine article dédié aux lectures de ces essais.
Pour disposer vos mires anamorphiques, armez-vous de :
- 5 ou 7 mires de calage anamorphique PAT.
- Un fil à plomb. N’importe quel fil à plomb pourra faire l’affaire. Néanmoins, préférez un fil à plomb avec aimant pour pouvoir le laisser à demeure sur le banc.
- Un niveau laser de maçonnerie type : le Bosch PLL 5 Laser Pen. Ce laser magique équipé d’un support aimanté vous permettra de tracer des lignes droites parfaitement horizontales et d’aligner vos mires. Un grand merci à Ouadi GUENICH, membre de l’association pour nous avoir fait découvrir cet outil.
Les mires peuvent être disposées en X (avec 5 mires) ou en « <><> » (avec 7 mires). Libre à vous de choisir. Nous vous recommandons tout de même la disposition en « <><> » pour les courtes focales, et la disposition en X pour les plus longues.
En effet, là où les courtes focales anamorphiques affichent la plus forte courbure de champ et les plus fortes aberrations géométriques, la disposition en « <><> » vous apportera plus d’informations sur les bords latéraux de l’objectif. C’est aussi sur cette disposition que notre choix s’est porté pour l’illustration et la démonstration des essais qui vont suivre.
Pensez-à assigner à vos mires des numéros comme sur le schéma ci-dessous. Cela vous sera très utile pour la suite ! Comme pour toutes les mires de chez PAT, vous pouvez écrire sur les mires anamorphiques avec des feutres à encre soluble à l’eau.
• Commençons la disposition des mires •
1# Pour une meilleure visibilité, arrangez-vous pour que la disposition choisie soit bien au centre du banc avec un espace raisonnable entre chaque mire.
Placez ensuite la caméra de façon à ce que votre disposition soit plein cadre. Si la disposition en « <><> » est satisfaisante à 4’11’’ par exemple, arrondissez la distance de mise au point et choisissez 5’ pour réaliser vos essais. Un chiffre rond et un tracé net sur l’objectif permettront une meilleure lisibilité lors de la manipulation.
Vous pouvez aussi vous fier aux distances recommandées sur les feuilles de calage des différents prestataires dans la mesure où la disposition de vos mires ne débordent pas du cadre (cf Rubrique « Feuilles de calage optique » dans les Essais camera)
2# Faites votre bulle et positionnez la camera parfaitement perpendiculaire au banc grâce à un miroir. Autrement dit, alignez et centrez le reflet de la frontale de votre objectif avec la croix au centre de votre viseur dans un miroir placé au centre du banc. Pour cela et pour une meilleure visibilité, il est utile le temps du centrage de la camera d’enlever la mire centrale.
Une fois le centrage réalisé, il est temps de disposer au fil à plomb et au niveau laser votre mire centrale dite n°1.
3# Assurez-vous que la mise au point est faite sur le banc, et alignez le fil à plomb avec la croix au centre de l’image générée par la camera. Si vous avez la sensation que le fil n’est pas droit, cela peut provenir soit d’une mauvaise bulle, soit d’un problème d’alignement de l’anamorphose. Ensuite, placez le niveau laser à gauche ou à droite du banc de sorte que son rayon traverse la totalité du champ et s’aligne avec la croix.
Le fil à plomb et le laser vous permettent à présent de positionner et d’aligner précisément votre mire n°1.
4# Alignez sur le laser vos mires 6 et 7 et vérifiez-les ensuite au fil à plomb. Méfiez vous de la parallaxe ! L’alignement des mires au fil à plomb doit se faire à l’œil « de visu » et non via le monitoring. Profitez de cette mise en place pour constater les déformations latérales en alignant le fil à plomb sur les bords cadres. C’est le test dit « du fil à plomb ». Pour une disposition en X, vous pouvez sautez cette étape et passer à la suivante.
5# Il vous reste maintenant à disposer les mires périphériques 2, 3, 4 et 5. Peu importe dans quel ordre vous procéderez, l’important c’est la méthode. Pour l’exemple, nous suivrons l’ordre imposé par les captures.
Alignez le niveau laser dans le tiers bas du cadre de sorte que les mires, une fois disposées, ne mordent ni sur les bords cadre, ni sur les mires 1, 6 et 7. Disposez la mire 5 sur le tracé du laser.
Placez le fil à plomb sur le tiers gauche de l’image. Alignez et disposez la mire 3 en bas à gauche avec le fil à plomb et sur le laser resté dans le prolongement de la mire 5. Faites ensuite glisser le niveau laser sur le tiers haut de l’image. Maintenant, alignez la mire 2 en haut à gauche sur le tracé du laser et sur le fil à plomb resté dans le prolongement de la mire 3 en dessous. Déplacez ensuite le fil à plomb sur le tiers droite de sorte qu’il soit aligné sur l’axe vertical de la mire 5 en bas à droite. Pour finir, alignez et disposez la mire 4 pour une dernière fois sur le fil à plomb et le tracé laser respectivement dans le prolongement des mires 5 et 2. Oufffff !!!!! Désolé pour l’indigestion ! Vraiment ! Heureusement que la vidéo tutoriel est là !!!
Grâce au fil à plomb, au laser et aux différents repères de la mire, il est très facile de quadriller le banc et de lier les mires les unes aux autres. Si vous avez un deuxième laser, c’est encore mieux. Cela vous évitera des va-et-vient avec le fil à plomb.
Cela peut vous paraître fastidieux, mais une fois les mires périphériques 2, 3, 4 & 5 placées, vous n’aurez plus la nécessité de les déplacer pour la suite car elles ne sont pas liées au centrage de la camera, ni à l’alignement de la mire 1.
En reculant dans l’axe pour caler les focales à suivre, il vous faudra :
- Déterminer les distances d’essais.
- Refaire à coup sûr la bulle.
- Recentrer la camera à l’aide d’un miroir.
- Aligner de nouveau la mire 1, et disposer les mires latérales 6, et 7 en fonction. Si votre mire 1 n’est pas tout a fait au centre des mires 2, 3, 4 & 5, le décalage importe peu pour la suite.
Qu’il s’agisse d’une disposition en X ou en <><>, vous pouvez aussi choisir de faire coïncider l’ensemble des mires grâce à leur quadrillage horizontal et vertical tangent à l’ellipse.
Cela demande un travail d’alignement supplémentaire à la mise en place et qui se devra d’être répéter à chaque changement de focale.
6# Le gros du travail est presque terminé. Il vous reste à :
- Faire vos lectures à l’œil au centre et sur les bords. Il est fortement recommandé de vérifier le calage de vos objectifs à pleine ouverture, et deux diaphragme en dessous. Pour un meilleur confort des lectures, nous choisissons de lire les mires sans anamorphose.
- Déterminer votre rapport en mm en fonction de la profondeur de champ manifeste à l’œil et de la graduation de votre objectif. Pour vous aider, vous pouvez aussi vous référer aux rapports recommandés sur les feuilles de calages des différents prestataires à condition que les distances d’essais concordent.
- Etablissez une exposition neutre. Aidez-vous du false color par exemple !
- Identifier vos essais.
La machine à calage est prête. Commencez les impressions ! Moteur !
À partir de là, plus besoin de vous expliquer, vous devriez savoir vous y prendre !!!
Refaisons maintenant une synthèse de ce que nous venons de nous dire à l’aide du petit tutoriel vidéo :
Un grand Merci à RVZ Camera pour nous avoir accompagné et soutenu dans cette aventure.
Et un autre grand merci pour le roi du fil à plomb et son aide précieuse à la réalisation de ces essais : il se nomme Stéphane BOISSIER.
À très bientôt, nous l’espérons pour la très attendue 2e Partie de cet article qui sera consacrée aux lectures.
AOAssociativement votre !
Aurélien DUBOIS.